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221

D’après des calculs effectués par Jean Le Bouill, dans la longue durée (plus de 30 ans). Peñas arriba, Sotileza, El sabor de la tierruca, Don Gonzalo González de la Gonzalera, Nubes de Estío, Al primer vuelo, La Montálvez, La Puchera, De tal palo, Hombres de pro, El Buey suelto et Pachín ont tous des rythmes de vente mensuels supérieurs à 50 exemplaires, c’est-a-dire 20 exemplaires de plus en moyenne que l’ensemble des romans de Galdós... (Cf. Jean Le Bouill. Les Tableaux de moeurs et les romans ruraux de José María de Pereda... Université de Bordeaux III, 1980, pp. 159-162). (N. del A.)

 

222

Même les romans les moins vendus (à long terme) ont des rythmes égaux ou supérieurs à deux des oeuvres de Renan, Nietzche, Bakounine et Darwin (sauf L’Origine de l’homme), publiées et diffusées en Espagne et dans toute l’Amérique latine par Sempere y Cía. de 1902 a 1909 (cf. Pérez de la Dehesa, «La editorial Sempere en Hispano-América y en España». Revista ibero-americana, núm. 69, 1968, pp. 551-555). (N. del A.)

 

223

Parce que, en Espagne, le circuit prête-main semble, d’aprés les témoignages dont nous disposons, plus important, et la dimension moyenne des familles plus grandes. (N. del A.)

 

224

Le public de Doña Perfecta, Marianela, Gloria et La familia de León Roch pendant la même période peut être estimé à 105.000 (avec le même multiplicateur de 3.5), ce qui met ces romans au niveau de la deuxième série des Episodios. (N. del A.)

 

225

Sur ce point, voir A. Dérozier, «Le roman historique au XIXe siècle: la problématique d’un genre» (Communication au XIVe, congrès de la Société des Hispanistes Français. Nice, mars 1978).

Pour donner un ordre d’idées, ces 150.000 personnes représentent un groupe un peu plus nombreux que celui isolé par M. Martínez Cuadrado (La Burguesía conservadora (1874-1931). Madrid, Alianza, 1973, pp. 226-229) sous le nom de «bloque de poder económico». (N. del A.)

 

226

Cf. J.-F. Botrel, «La novela por entregas: unidad de creación y de consumo». In: Creación y público en la literatura española, Madrid, Castalia, 1974, p. 132. (N. del A.)

 

227

Lui-même estime en effet son public à 5 ou 6.000 lecteurs et celui de Galdós à 20.000 (il pense sans doute au public des romans) Cf. J.-F. Botrel, «Juan Valera et l’argent». Bulletin Hispanique, LXXII, n.º 3-4, Julliet-Décembre 1970, p. 307). (N. del A.)

 

228

Pour les raisons indiquées plus haut (paragraphe 11), l’ouvre dramatique de Galdós n’est pas prise en compte pour ces analyses. (N. del A.)

 

229

Pourtant la maison Hernando, en précisant les tirages des éditions de nouveaux romans à deux pesetas ou à trois pesetas, ne vise que sur une différence de un à deux (16.000 exemplaires et 8.000 exemplaires respectivement) (apud J.-F. Botrel, «Galdós y la casa editorial...», loc. cit., p. 265). (N. del A.)

 

230

Le phénomène d’usure peut jouer, on le sait, pour les oeuuvres les plus anciennes. Dans le cas de Galdós, ce phénomène ne se traduit, cependant, pas par des effets majeurs puisque ce sont presque toutes les oeuvres antérieures à 1880 qui ont connu le plus grand succés, absolu et relatif. (N. del A.)